Académie pâtisserie: les petits biscuits
- Publié le 1 octobre 2014
- Par Laurent
- Dans Du côté de chez Mmmmh!
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Autant j'aime cuisiner, autant la pâtisserie c'est pas trop mon truc. Et quand je vois les prodiges que certains réalisent, ça donne juste envie d'en rester au Risotto et au One-pan Pasta sans se prendre la tête. Bref, lorsque Sergio m'a proposé de participer à l'Académie pâtisserie chez Mmmmh!, j'ai un peu sauté sur l'occasion. Comme expliqué ici, les Académies sont des séries de plusieurs cours indissociables, qui visent à améliorer ses compétences culinaires: ce sont les cours les plus pointus que propose la maison.
L'Académie pâtisserie se déroule en 4 sessions, sur 4 samedis après-midis successifs. Le premier cours est consacré aux petits biscuits: ceux qu'on dégustera avec une bonne tasse de café, après les avoir sortis de leur boîte métallique à l'effigie du couple royal. Je sais ce que vous vous vous dites: comme ça, ça n'a l'air de rien, et des petits biscuits, c'est nettement plus facile à réaliser qu'une pièce montée.
La suite, par ici»‘Terborght *
- Publié le 29 septembre 2014
- Par Laurent
- Dans Un jour, un gueuleton
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La tête dans les étoiles
Attention, belle table ! Visité dans le cadre de l'action Dining with the Stars, organisée par diningcity.com, le 'Terborght fut assurément une agréable découverte. Dining with the Stars - dont la prochaine édition se tiendra du 9 au 19 octobre - est l'une de ces initiatives qui permet, pour un prix promotionnel, de déguster un menu gastronomique dans une série de restaurants. La particularité est ici, comme le nom l'indique, que tous les restaurants sont étoilés au célèbre guide Michelin. Le tarif ? 60 EUR pour un menu 5 services (hors vin), avec un supplément de 15 EUR ou 25 EUR si le restaurant choisi est un deux ou trois étoiles. Très honnête, pour autant évidemment que le niveau du restaurant soit à la hauteur. Comme vous allez le comprendre, c'est le cas du 'Terborght. Nous arrivons assez tard - vers 21.00 - et notre première impression est un peu mitigée. Le bâtiment est plutôt joli, dans le style fermette, mais situé à quelques mètres du Ring, ce qui crée une ambiance plus propice au stress des heures de pointe qu'à la dégustation contemplative. En revanche, le parking n'est pas un problème, ce qui est un plus quand le passage par la case voiture est obligatoire. Une fois entrés, l'ambiance est toute autre. Bien que remplie, la salle conserve une atmosphère relativement feutrée, et donne envie de s'installer pour profiter d'un moment de plaisir. Logiquement - vu la situation géographique - le personnel est surtout néerlandophone, mais fait tous les efforts nécessaires pour s'exprimer en français. La serveuse nous apporte rapidement le menu: après nous avoir proposé un apéritif, elle nous explique que nous pouvons, si nous le désirons, agrémenter notre repas de quelques options. Parmi celles-ci, la possibilité de rajouter une entrée supplémentaire, de remplacer le porc du plat principal par du pigeonneau d'Anjou, ou enfin, de déguster une sélection de fromages avant les desserts. De toute évidence, les restaurateurs partenaires de l'initiative ont une certaine latitude pour améliorer leur marge bénéficiaire. C'est de bonne guerre, surtout lorsque comme ici, les options sont un vrai plus pour le menu. Nous nous décidons finalement pour l'entrée supplémentaire, car il s'agit de jets de houblon, un produit typiquement belge, aussi rare que délicieux, qui seront en outre une première pour ma convive. Pour ce qui concerne le fromage, nous verrons plus tard si nous avons encore de la place.
Et bouffe la vie fillette !
- Publié le 26 septembre 2014
- Par Laurent
- Dans Autour du goût
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Vite fait, un lien vers un morceau de Syrano - tiré de l'album Le goût du sans - que j'affectionne beaucoup et qui est dédié à toutes celles, jeunes ou moins jeunes, qui se sentent mal dans leur peau à cause de leur physique. Les troubles alimentaires sont pour moi un des signes les plus évidents que notre société est malade; il est juste triste et révoltant que le marketing, la pression sociale et la normativité soient parvenus à faire détester à des millions de personnes quelque chose dont elles devraient être fières: leur propre corps. Rondes, minces, grands, petites, la vraie beauté se trouve dans la diversité, bien plus que dans une uniformité morne.
A toutes celles qui se sentent complexées au point de négliger leur alimentation, je souhaite de trouver la force de rejeter les diktats du papier glacé, de s'accepter telles qu'elles sont et de retrouver dans la nourriture un plaisir simple. Parce que manger, c'est comme faire l'amour: c'est le meilleur moyen de se sentir vivant.