La Bonne Humeur
- Publié le 25 novembre 2015
- Par Laurent
- Dans Un jour, un gueuleton
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Novembre, c'est un mois en R. Et les mois en R, qu'est-ce qu'on mange Rémi ? Des moules ! Ça tombe bien, puisqu'on est un peu dans la capitale mondiale du Moules-Frites (oui, on ne s'en rend pas toujours compte mais dit comme ça, ça en impose). Et en ces heures sombres que traverse notre ville bien-aimée, il convient de revendiquer encore davantage ce qui la rend si belle et si chère à nos yeux.
Pour autant, et même à Bruxelles, les vraies bonnes adresses où déguster notre plat national ne se trouvent pas à tous les coins de rue. En tout cas, si on veut sortir des pièges à touristes et autres enseignes industrielles éponymes d'un tueur à gages de Luc Besson.
La suite, par ici»Get up, get up, you lazy lump, get into your working clothes !
- Publié le 12 novembre 2015
- Par Laurent
- Dans Autour du goût
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"Diantre" se dit le lecteur régulier de ces pages (car oui, le lecteur régulier de ces pages pratique un langage des plus châtiés). "Déjà 3 mois que nous n'avons plus rien à nous mettre sous la dent, hormis quelques maigres photos sur Instagram ! Mais que se passe-t-il ? Foodtales serait-il mort et enterré ?"
"Que non pas !" s'exclame votre serviteur. Mais encore ? Pour faire court et vous épargner certains détails inintéressants pour toute autre personne que moi, sachez simplement que mon attention fut détournée par quantité de facteurs, aussi variés qu'incontrôlables. Nouvelles rencontres, vacances, projets artistiques et festifs, autant de (bonnes) raisons qui m'ont tenu éloigné de mon clavier. Mais quoiqu'il en soit, ma motivation à faire vivre ce blog reste intacte.
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Senzanome *
- Publié le 10 août 2015
- Par Laurent
- Dans Un jour, un gueuleton
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NdlR: Si vous vous intéressez à l'actualité gastronomique, vous n'aurez certainement pas loupé le déménagement du Senzanome, l'un des grands ambassadeurs de la cuisine italienne au sein de notre chère capitale. Initialement prévu pour octobre 2014, l’événement fut reporté à de multiples reprises, jusqu'à prendre des allures de Vaporware culinaire et au grand dam des fines bouches d'ici et d'ailleurs. Désespoir qui s'est depuis mué en réjouissance, puisque Nadia et Giovanni Bruno ont inauguré en juillet dernier leurs nouveaux quartiers, pile en face du Petit Sablon: l'occasion rêvée pour publier cet article, écrit il y a quelques mois, à l'époque où le duo sus-nommé officiait encore à Saint-Josse. Si ce déménagement change quelque peu la donne, gageons qu'il n'aura eu que des effets positifs sur cette très belle table (hypothèse que nous ne manquerons probablement pas d'aller vérifier dans les mois qui viennent).
Dans la vie, on a parfois des moments creux. De ceux où l'on a l'impression que rien ne va, que malgré tous nos efforts pour surnager dans l'océan de nos souçis, on est systématiquement repoussé dans les abysses par une paire de combat-shoes pointure 172. Et pourtant, même durant ces périodes, il y a parfois, de loin en loin, un rayon de soleil complètement inattendu, juste une manière pour le hasard de vous rappeler que la vie est faite de hauts et de bas, et qu'à chaque claque succède un petit ou un grand bonheur. Facétieuse providence donc, qui m'envoya un soir un coup de fil de Thomas, un ami perdu de vue depuis un moment, et désireux de m'inviter à dîner pour discuter affaires. En soi, c'est déjà cool. Connaissant mon amour de la bonne chère, le dit ami me propose - cerise sur le clafoutis - de choisir moi-même l'adresse de nos retrouvailles: j'accepte évidemment de bonne grâce et m'enquiers fissa de ce qu'il a envie de manger: "rien de trop exotique, mais j'aime assez la cuisine française ou italienne". Tranquillou, je lui propose donc quelques adresses de petits restos transalpins bien notés. Réponse: "non mais tu peux taper un peu plus haut dans le budget, on peut se faire plaisir". Tutto bene, c'est le genre de truc qu'il faut rarement me répéter.
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