La Table Food & Games
- Publié le 20 janvier 2016
- Par Laurent
- Dans Sur le pouce
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Le parcours d'un gastronome, ça ressemble parfois à une relation de couple: entendez par là qu'il est facile de se laisser tourner la tête par la nouveauté et l'originalité, au risque de négliger ceux dont la présence, pourtant essentielle, a fini par s'installer dans la discrète habitude du quotidien. En l'espèce, votre serviteur ne fait pas exception à la règle, et si je m'enflamme parfois pour de nouvelles gargotes, quitte à me mettre au clavier le jour même de la trouvaille, j'en oublie parfois souvent de parler des adresses que je fréquente avec la régularité d'un métronome.
Boco Brussels
- Publié le 6 décembre 2015
- Par Alexandre
- Dans Un jour, un gueuleton
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Vendredi 27 novembre, 14 heures, je me retrouve au début de l'avenue Franklin Roosevelt et j'ai les crocs, faut que je mange, et vite !
Etant à côté de La Truffe Noire mais juste trop tard pour commander (tant mieux car c'est la "faim" du mois), je me résigne à rechercher quelque chose de rapide, proche et bon si possible (je rêve). Hé, mais y'a le machin avec les bocaux tout près, le lieu dont tout le monde parle depuis peu, l'occase de me faire un étoilé en échange des quelques deniers qu'il me reste en poche, ça va le faire. A l'angle de l'avenue Louise et de l'avenue Legrand s'est ouvert récemment le resnbica* Boco, concept venu d'ailleurs qui propose de déguster des recettes élaborées par des chefs étoilés, le tout dans des bocaux.
La suite, par ici»Wokup
- Publié le 2 juillet 2015
- Par Laurent
- Dans Un jour, un gueuleton
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L'autre soir, alors que je déambulais dans le quartier de la Grand-Place dans l'attente de bibitives retrouvailles, je me suis dit qu'il serait pas complètement con d'aller manger un truc. Décidément pas tenté par un énième durum-shoarma-andalouse-tousalat'chef (même si le libanais l'Express, tout proche, parvient souvent à obtenir mes faveurs), je me dis que je me taperais bien un petit asiat' vite fait, histoire d'allier l'agréable à l'utile.
Quelques mètres plus loin, j'avise sur un coin un snack d'obédience extrême-orientale, à base de jeux de mots, de meubles bichromes, et de menus rétroéclairés sur les murs. Bon, me dis-je, on est à l'orée de l'Ilôt Sacré, et qui dit Ilôt Sacré dit gros piège à touristes. Ce sera certainement pas du haut niveau, mais ça a l'air propre, pas trop cher, et surtout, c'est bien situé pour la suite de mon programme. All right, let's see.
Personnel anglophone only, why not: vu le quartier, c'est à peine étonnant. Un menu fourni mais pas trop, sans grande originalité. Quelques plats de nouilles à composer soi-même, en piochant entre aliment principal et sauces. C'est pile ce à quoi je m'attendais, donc poursuivons: ce seront 6 gyozas et un bol de nouilles au bœuf, sauce au poivre noir, option Udon en sus. Pour rincer tout ça, une bête Hoegaarden.
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